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[Luxemburgensia] L’historien et la presse écrite

490_0008_14961680_201806151654_0001Dans son livre Un passé resté vivant. Mélanges d’histoire luxembourgeoise (ISBN 978-982-059-6) paru en 1995 chez Émile-Borschette (éditeur) et publié sous les auspices du Lions Club Luxembourg Doyen, Gilbert Trausch a rassemblé plusieurs articles qu’il avait édités dans la presse quotidienne et hebdomadaire du pays.

Dans la préface, Trausch s’exprime sur les avantages et désavantages du support journalistique : touchant un grand nombre de lecteurs, cette large diffusion n’aura pas la résonnance à laquelle l’historien peut prétendre s’il publie ses études dans une presse spécialisée.

Une fois de plus, la constatation de Gilbert Trausch montre ses talents de communicateur. «Rien de plus éphémère qu’un article de journal», notait-il. «Il tombe rapidement dans l’oubli, partageant le sort des nouvelles qui sont continuellement chassées par l’actualité. Ainsi refoulé de la mémoire, l’article de journal devient difficile d’accès.» Mais Trausch disposait de nombreux atouts professionnels. Il signale l’intérêt de la numérisation et la collecte de la mémoire par une institution comme la Bibliothèque nationale.

Signalons dans ce contexte seulement deux des articles caractéristiques de la méthode de travail de Gilbert Trausch parus au Luxemburger Wort, et choisis par l’historien : «La Révolution française dans ses rapports avec le Luxembourg» (page 11 et suivantes) et «Die deutsch-luxemburgischen Beziehungen aus der Sicht der Geschichte» (page 359 et ss.)

Jean Rhein

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