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[Europa League] F91 : Pour les héros, il est urgent de se reposer


Voilà, c'est fini. Le F91 a bouclé sa campagne par un point magistral contre le Betis jeudi soir. (Photo : Editpress/Gerry Schmit)

L’Europa League, c’est fini. Les Dudelangeois sont en vacances depuis jeudi soir. Et on en a senti beaucoup soulagés de pouvoir enfin breaker. Où vont-ils aller se relaxer? On fait le tour…

Dino Toppmöller a eu un large sourire au moment d’évoquer le chapitre fêtes de fin d’année, jeudi soir. Et a relâché complètement l’étreinte : «Les joueurs peuvent faire ce qu’ils veulent où ils veulent du moment que quand ils reviennent, le 12 janvier, ils ne D soient pas en surcharge pondérale. » Hormis le critère du poids, donc, les joueurs dudelangeois ont largement mérité leurs vacances. Et ils vont les prendre!

Kevin Malget : la Floride «Le soleil avec ma copine, ne plus penser au foot, ne même plus en regarder. Faire d’autres sports comme le basket ou le tennis.»

Clément Couturier : l’Islande «Je pars après Noël, pour cinq petits jours, histoire de faire un petit tour.»

Nicolas Perez : Marrakech «D’abord en famille à Marseille, puis le Maroc… avant de repasser à Marseille jusqu’au 12 janvier.»

Dominik Stolz : Sölden «Je pars en Autriche faire du ski ou du snowboard, avec des amis et après le jour de l’an. C’est égal. Vous savez, moi, je viens de Bavière, alors le ski.»

Danel Sinani : Dubai «C’était mon 33e match cette saison, le Betis, j’ai besoin de couper totalement une semaine, de profiter du beau temps et surtout de ne pas faire de sport.»

Stelvio Cruz : le Cap-Vert «Deux semaines avec la famille pour Noël et le jour de l’an. Là-bas, il fait 25 degrés. On va oublier le foot à la plage, manger, boire, sortir… »

Aniss El Hriti : destination inconnue «Moi? (il sourit) Je pars loin, très loin. Disons que c’est un peu discret, un endroit… disons pour se recueillir. Et je vais rester un bon bout de temps.»

Et le coach?

Dino Toppmöller : Dubai «Je dois attendre que mes enfants aient fini l’école, mais on va partir 9 jours là-bas, en famille, à partir du 25 décembre.»

Ceux qui ne partent pas, ou pas loin

Levan Kenia : Gelsenkirchen «Je ne repars pas en Géorgie. Je reste à la maison, en famille. Ce n’est pas l’endroit idéal pour des vacances mais c’est comme ça.»

Bryan Mélisse : Metz et Paris «Je ne vais partir qu’une semaine en famille, dans la capitale. Pour le reste, j’ai ma crêperie et j’ai beaucoup de boulot à rattraper.»

Landry Bonnefoi : Metz «Moi je reste là. Mes enfants doivent aller à l’école.»

Jerry Prempeh : Paris «Je vais aller voir la famille une quinzaine de jours. J’en ai besoin.

Julien Mollereau

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