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Greenpeace Luxembourg a organisé un comité d’accueil pour Emmanuel Macron


(Photo : DR)

Alors qu’Emmanuel Macron était en visite officielle mardi au Luxembourg, les militants de Greenpeace n’ont pas loupé cette occasion!

Mercredi en fin de journée, ils ont déployé des banderoles sur le passage des convois du président français, Emmanuel Macron, et du Premier ministre belge, Charles Michel. Impossible pour les deux élus de ne pas voir les inscriptions demandant la fermeture des centrales nucléaires de Cattenom, Fessenheim et Tihange.

Mardi, Greenpeace a rappelé que le président français et son ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, s’étaient engagés à respecter la loi de transition énergétique d’août 2015 et donc à fermer jusqu’à 17 réacteurs pour ramener la part du nucléaire dans la production d’électricité en France à 50 % à l’horizon 2025. Les militants demandent que les réacteurs situés près des frontières et menaçant les pays voisins de la France soient fermés en premier… comme les quatre situés à Cattenom et les deux installés à Fessenheim.

Xavier Bettel fataliste

Xavier Bettel a réaffirmé, mardi, que Cattenom représentait une grande inquiétude pour les Luxembourgeois et a réitéré la proposition du gouvernement d’apporter «une contribution financière luxembourgeoise pour créer un parc d’énergies renouvelables» sur le site mosellan de la centrale nucléaire. Mais fataliste, le Premier ministre a reconnu une forme d’impuissance dans ce dossier : «C’est évidemment une décision de la République française», a-t-il ainsi constaté. Le président français, Emmanuel Macron, a été peu disert sur le sujet en conférence de presse mardi.

Le Quotidien

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